Ma gratte. Little rain, je vous raconterais son histoire un autre jour. Aujourd'hui c'est le moulin coincé dans ces cordes qui nous intéresse...je vais vous raconter une histoire.
Il était une fois, une jeune fille avec une épée. Qui Jour après jour, avait décidé d'explorer chaque parcelle du monde dans lequels elle vivait. Chaque nuit elle observait le ciel, elle contait les étoiles d'ou elle tenait son nom, sans plus chercher à se rapeller leur position. Elle vit beaucoup de choses. Apris à reconnaitres les plantes comestible, a tirer des lapins, a se laver à l'aides des fleur savon des montagnes. Elle vit les falaises invisible, caché sur une barque au fil d'une rivière azur. Elle vit les prairies immense parcouru par les renards. Elle appris à tresser ces long cheveux roux, pour grimper au arbre géant sans se prendre dans les branchages. Pour aller chanter avec les oiseau. Elle vit le monde de haut. Elle vit les sources; les lacs, les forêt sombre puis lumineuse...les statues couvert de mousse les cimetière et temple abandonné, Il était une fois une jeune fille avec une épée.
Un jour elle entra dans une forêt grise. Une forêt plus grandes que n'importe autre forêt dans laquel elle avait marché. C'était une forêt qui brillait; la nuit venue, de mille couleur, une forêt très bruyante, parcouru par d'immense monstre de métal, parcouru non par les renards, mais pas d'autre homme armé de flingues et de rire.
La rouquine curieuse de cette aventure, s'avança, confiante. On lui apprit qu'elle devait apprendre, qu'elle devait avoir un nom prononcable par les autres. Fière de son nom qu'elle tenait des étoiles, elle ne voulut pas plié, mais alla rejoindre d'autre humain pour mieux apprendre.
Apprendre, c'était simple. Et fascinant. Dans la forêt de béton il y'avait parfois de vrai arbres, et de large étendu d'herbe. Alors la jeune femme vivait plutôt heureuse, et ne rechigna pas quand on lui dits qu'elle ne pouvait plus partir. Elle appris à lire, a compter, à communiquer. Elle ne voyait plus que les même tables de bois la même court de récréer, mais connaissait des univers immense remplis de dragons de fées, elle connaissait les murmure du passé, elle savait même multiplié. Jouer avec des voiture télècommander, des ballons coloré, de temps en temps, ils allaient voir la mer. Et elle apprenait a nager.
Et puis peu à peu. On arrêta de lui apprendre. Elle arrêta de vouloir apprendre. Elle rouvrit les yeux et la forêt redevint belle et bien grise.
Quelques peu drogué à la connaissance, elle chercha à s'en détacher. Elle visita chaque rue de la ville, chaque parc, chaque avenue. Elle cherchait à retrouver ce quelle avait laissé, loin, loin, dans un pays recouvert de béton armé désormais.
Peu à peu la jeune fille avec son épée se rendits compte quelle était enchainé, au personne que lentement elle avait apprivoisé. Ce n'était pas des oiseaux, ni des fleurs, ce n'étais pas des renards, qui s'en mal se détacheraient d'elle. Elle compris d'un regards, que si elle partait tous s'effondrais.
La jeune femme resta.
Peu à peu les mur tournait.
Prisons faussement coloré.
Peu à peu elle se déssechait.
Son souffle ralentissait quand seul face à l'absurdité du monde, elle se rendait compte quelle n'était pas à sa place.
Elle s'enfuyait avec ces amis, partant fumer caché derrière les batiments.
Et peu à peu son souffle se coinçait.
S'accrochait.
Se perdait.
Excess Breath.
Le coeur qui accèlère, les poumons qui s'enflame, le monde n'existe plus, seul existe le carrelage frais tandis que vous vous étouffer conscient que chaque inspiration de l'air vous empoissonne un peu plus. Vous pousse a respirer plus fort. Jusqu'à ce que vous arretiez complètement de respirer. Comme un poisson tirer hors de l'eau.
Vous savez que vous n'en mourrez pas.
Que l'on vous porteras dans un lit froids.
Que des jours plus tards votre coeur se gèlera de nouveau, incidieusement la vérité et votre souffle s'emballerons de nouveau.
Un jour, Alors que la jeune fille a l'épée se noyait, elle pris l'habitude de chanter pour s'assurer qu'elle respirait. Pour oublié les journée assise dans l'immobilité et le mensonge. Pour oublié quelle ne reverais pas ce monde d'ou elle venait.
Un jour que la jeune fille joyeuse oubliait, loin de tous celà, elle trouva une fleur de vent multicolore.
Qui sait, qui sait pourquoi elle le sert si fort dans ces mains qui ne tremble pas.
Voilà. Je tenais à insulter copieusement notre système scolaire. Cher système scolaire, est ce que vos programmes ont un autre but que celui de nous laisser acceder au études superieur avec l'illusion d'avoir BIEN BOSSE sans en FOUTRE UNE.
Est ce que vos professeur n'ont ils rien d'autre à nous enseigner. Pourquoi?
Comment expliquer vous qu'il ai a ce point perdu notre respect en quelques année seulement?
Pourquoi croyez vous qu'aucun élèves ne prends la peine de faire ces exercices.
Quand l'on passe la moitié de ces journée à ces faire engueulé, l'autre moitié à faire semblant d'écrire les mots bêtements dicter, sans reflechir, peut on vraiment s'étonner que chacun part se bruler les lèvres sur des clopes en espèrant voir le soir arriver plus tôt , boire sans fin pour mieux vivre.
Peut ont vraiment s'étonner du dégout profonds des jeunes pour l'études, quand le seul but de mes dernier devoirs auront été d'étaler de la confiture, d'étaler de la confiture, de donner les réponses qui sont dans les question. De réciter des leçons que nous auront tous oublié le lendemain.
Est ce normal que seul le français et le sport conserve mon intérêt?
Que depuis CES ANNEE a étudier l'anglais, la pluparts d'entre nous parle ave l'accent.
Est ce normal vraiment. Que je n'apprenne rien. Que je soit pourtant certaine de passé haut la main?
Est ce normal que j'apprenne mieux seul dans mes livres, sur internet?
Est ce normal que je n'ai aucun espoir aujourd'hui de pouvoir m'adapter dans ce monde bien règler, bien sur, et paisible?
Cher professeur. Non. Nous n'avons pas confiance en vous n'y en ce que nous apprenons, nous ne savons pas pourquoi nous l'apprenons, d'ailleurs pour votre information, nous savons déjà la moitié de ce que nous "apprenons."
Ou c'est juste moi.
Juste moi ma filière, mes cours.
Juste moi, L, section européenne dans un brillant ancien lycée jésuithe: Qui n'a pas de chance. Juste moi et ma classe de L/Es qui joue au sudoku durant ces cours d'histoires.
pétage de câble. J'édite surement rapidement. M'en fous. Je retourne sècher, jouer de la guitare.